It's getting better all the time
Finie cette victimisation, ce schéma de comportement, cet obstacle aux relations authentiques.
Je ne suis pas en mode "survie". J’ai dépassé ce cap. Ce n’est pas ma personnalité d’être une victime, c’est une sous-personnalité à laquelle j’ai peut-être eu à faire lorsque j’en avais besoin pour survivre à l’insatisfaction de mes besoins. Je me promets qu’elle sera moins présente et qu’elle se manifestera moins désormais.
Je sais où j’en suis. Peu à peu, je me reconstruis des défenses psychologiques et je ne m’apitoierai pas sur mon sort.
Les choses ne sont pas dramatiques, et je ne souffre plus.
Je me sens plus forte. Comme je l’ai dit dans un précédent écrit, je crois, je ne compte pas trop sur mon entourage. La plupart du temps, j’attends qu’on compte sur moi et si ce n’est pas le cas, tant pis.
J’ai assez de recul sur la situation pour savoir ce que sont mes besoins.
Je ne soupire plus. Je n’ai plus le dos voûté et je ne contemple plus mes pieds au lieu de regarder droit devant.
Je n’ai pas peur d’échouer, de perdre le contrôle, de déplaire, d’être rejetée ou abandonnée. Je me moque des messages nuisibles. Finie la honte et la culpabilité. Finis les comportements apathiques.
Je suis responsable de ma vie. Ma vie est entre mes mains.